Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

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Hommage à Jean-Pierre Marielle

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Le 24 avril 2019, Jean-Pierre Marielle nous quitte. Avec lui s’en va, de nouveau, un indispensable de notre cinéma. Personne n’oubliera sa voix et sa gouaille.

 

Retour sur 10 films emblématiques de l’acteur : 

 

Le diable par la queue  (Philippe de Broca, 1969)

 

Après avoir passé les années précédentes à servir des second rôles auprès notamment de Louis de Funès (« Faites sauter la banque ») et son pote Jean-Paul Belmondo (« Week-end à Zuydcoote »), Philippe de Broca le met enfin en avant dans ce film où l’acteur côtoie Yves Montand.

 

 

 

La valise  (Georges Lautner, 1973)

 

Dans ce film réjouissant, Marielle affronte Michel Constantin pour avoir les faveurs de la belle Mireille Darc. 

 

 

 

Les galettes de Pont-Aven (Joël Séria, 1975)

 

Assurément un des sommets de la carrière de Jean-Pierre Marielle dans lequel il incarne un merveilleux libertin.

 

 

 

Que la fête commence  (Bertrand Tavernier, 1975)

 

Sous la direction de Bertrand Tavernier, Marielle se voit offrir, enfin, un rôle dramatique à la mesure de son talent.

 

 

 

Calmos (Bertrand Blier, 1976)

 

Aux côtés de son pote Jean Rochefort, et sous la houlette de Bertrand Blier, Marielle incarne un homme pourchassé par les femmes amatrices de sa virilité. L’anti féminisme qui ressort du film en fait une œuvre qui serait impossible à monter aujourd’hui.

 

 

 

Un moment d’égarement (Claude Berri, 1977)

 

Ou comment Marielle se laisse tenter par une relation avec une jeune fille de 17 ans dont le père, joué par Victor Lanoux, est son meilleur ami... Un très beau film où Marielle déploie toute sa sensibilité.

 

 

 

Coup de torchon (Bertrand Tavernier, 1981)

 

Retour devant la caméra de Bertrand Tavernier, Marielle s’offre ici un double rôle, proxénète d’un côté militaire de l’autre, face à son pote Noiret et Isabelle Huppert.

 

 

 

Uranus (Claude Berri, 1991)

 

Dirigé par Claude Berri, Marielle se retrouve face à un parterre de stars puisqu’on retrouve rien moins que Gérard Depardieu, Michel Blanc, Philippe Noiret, Michel Galabru, Fabrice Luchini et bien plus encore...

 

 

 

Tous les matins du monde (Alain Corneau, 1991)

 

Son sommet, sa plénitude. S’il devait n’en rester qu’un ce serait peut être celui-là. Marielle incarne le compositeur Monsieur de Sainte-Colombe face aux Depardieu père et fils. Un rôle magnifique. Son plus beau sans doute.

 

 

 

Les grands ducs (Patrice Leconte, 1996)

 

Injustement boudée à sa sortie, cette douce comédie permet aux trois potes, Marielle, Rochefort et Noiret, de se réunir ensemble une dernière fois en cabotinant comme ils ont su toujours le faire. 

 

 

 

Et aussi... Les autres films à voir ou à revoir avec Jean-Pierre Marielle : "Week-end à Zuydcoote", "Sans mobile apparent", "Sex-shop", "On aura tout vu", "Signes extérieurs de richesse", "L'amour en douce", "Hold-up", "Tenue de soirée", "Les mois d'avril sont meurtriers", "Quelques jours avec moi", "Max et Jérémie", "Les Milles", "Les âmes grises"...

 

 

 

 

 



27/04/2019
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