Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Parce qu’on adore Anaïs Demoustier sur ce blog, et que la bande-annonce donnait particulièrement envie, on attendait avec impatience « La pièce rapportée».

Avec son entrée en matière qui ferait penser à une variante de « Amélie Poulain », « La pièce rapportée  » montre très vite ses limites. La faute en incombe un scénario bancal qui hésite trop souvent entre le film totalement absurde et la comédie romantique pure. A force de ne pas savoir ce qu’il veut faire de son film, Antonin Peretjatko piétine et s’embourbe dans un film sans queue ni tête tout juste sauvé par quelques drôleries passantes.

C’est dommage car les acteurs principaux donnent du cœur à l’ouvrage que ce soit Josiane Balasko succulente belle-mère acariâtre, Philippe Katerine mari décalé, William Lebghill amant désœuvré et surtout Anaïs Demoustier, pétillante à souhait une nouvelle fois.

Une grosse déception.