Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Après s'être associés autour du film d'aventures ("100.000 dollars au soleil"), le film de guerre ("Week-end à Zuydcoote") sans oublier la comédie dramatique ("Un singe en hiver"), Henri Verneuil et Jean-Paul Belmondo s'essayaient pour la première fois au polar avec le brillant "Le casse".

Le générique présente une partie des protagonistes de l'histoire lesquels déambulent entre les mailles d'une image totalement rouge ponctuée par la magnifique musique d'Ennio Morricone. 

On y devine la silhouette de Bébel, puis celle de Robert Hossein dont le visage n'est pas identifiable à cause des jumelles qu'il utilise.

En revanche Nicole Calfan et surtout Renato Salvatori sont plus identifiables.

Omar Sharif absent de la séquence laisse t'il supposer déjà qu'il ne fait pas partie de la bande ? La suite nous le dira...

On sent déjà que des personnages sont amenés à très vite se retrouver dans un pays ce que l'on ne sait pas encore être la Grèce.

Le succès du film incitera Belmondo et Verneuil à récidiver dans le film policier avec le cultissime "Peur sur la ville"