Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

En 99, George lucas remettait au goût du jour avec "Star Wars" les prequels, films qui racontent l'histoire de personnages dont l'action a lieu avant ce qui nous a déjà raconté dans des films antérieurs. Sans être créateur du genre, rappelez vous "le parrain 2", Lucas a véritablement re popularisé ce genre. Depuis chaque saga y va de son film d' origine dont voici maintenant celui des Xmen. Tels Obi Wan Kennobi et Anakin, on suit la jeunesse de Professeur X et Magneto du temps où ils étaient copains comme cochons, à s'allier face à un ennemi commun (l'éternel jeune homme et indispensable Kevin Bacon ignoble comme on l'aime) avant que l'un d' eux fasse un choix vers le mal, que certains appellent côté obscur, dont il ne reviendra pas. Mais ça on le sait déjà. 

Dans une ambiance sixties, les deux héros s'en vont chercher d'autres xmen qui ne s appellent pas encore Wolverine (malgré un clin d' œil sympathique) ou Tornado mais qui ont quand même des pouvoirs rigolos qu'ils vont apprendre à maitriser au détour d' un moment bien longuet il faut bien l'avouer servant à combler un scénario qui ne suffit visiblement pas à assurer tout un film. 

Quelques séquences spectaculaires ne suffisent pas forcément à sauver le film d' un ennui relatif. Et puis il faut bien l'avouer que contrairement aux destins des jedis, on se fout un peu de celui de Magneto et de Professeur X.