Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

On les croyait inséparables mais en fait non. Buzz l’éclair s’en va vers des aventures en mode solo sans son compagnon de route de la saga « Toys Story », Woody. Sauf que le Buzz l’éclair présenté ici n’est pas le jouet ayant pris vie mais bel et bien un être humain fait de chair et d’os.

Voilà donc notre astronaute de cinéma préféré dans son élément, l’espace, pour une aventure qui tourne quand même vite en rond. Lorgnant rien moins que sur « Interstellar » par moment, le film d’animation a du mal à créer un intérêt assidu, la faute à un scénario mollement écrit qui s’avère être sans imagination.

Pas de scène marquante à se mettre sous la dent. Du coup, pour éviter que le film tombe dans les oubliettes, Disney y a incorporé son premier couple gay histoire de se mettre à la page. C’est tout à noble de la part de la firme aux grandes oreilles mais cela ne saurait compenser l’ennui quasi complet déployé par le film.