Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

"Caprice"

 

Caprice

 

 

 

 

Emmanuel Mouret est de retour pour un nouveau triptyque qu'il affectionne particulièrement.


Exit cependant ici ses acolytes féminines habituelles Frédérique Bell et Virginie Ledoyen au profit de Virginie Efira et Anais Demoustier.

L'histoire est charmante et plutôt sympathique. Mouret sait nous faire passer un bon moment avec de bons mots bien trouvés, des situations cocasses aidés par un scénario malin qui ne prend parti pour aucune des prétendantes au cœur de notre "héros".

Il y a toujours du Allen un peu chez Mouret, ce personnage atypique qui plait aux plus jolies femmes.

Ce fantasme avoué de l'acteur/réalisateur peut être considéré aussi comme le point faible de l'histoire. Car il faut bien reconnaître que l'on peine à imaginer que Mouret possède physiquement et psychiquement pour séduire d'une part une star de cinéma adulée de tous et (attention spoilers) pousser au suicide une autre prétendante. On veut bien imaginer que cette situation fasse rêver son auteur mais de là à en convaincre les spectateurs...

Rien à dire en revanche sur l'excellence de l'interprétation, avec mention spéciale à notre Meg Ryan à nous, Virginie Efira, qui tire hautement son épingle du jeu. 



03/05/2015
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