Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

"Limitless"

 

Limitless

 

A mi chemin entre le thriller et le fantastique, "Limitless" remplit bien son contrat de film d' action efficace avec un rythme mené tambour battant.

La réalisation de Neil Burger (une chance que ses parents ne furent pas fans d'Harrison Ford dans "Star wars"...), réalisateur jadis de l'ultra soporifique "l'illusionniste" se montre particulièrement efficace grâce à d'excellents effets visuels, inventifs la plupart du temps, comme la traversée de New York en mode supersonique, qui, souvent, scotche le spectateur à son fauteuil. 


La ville de New-York est d' ailleurs de rigueur, elle qui ne dort jamais, s'acclimate parfaitement aux aventures de son héros incarné par un Bradley Cooper convaincant qui fait ici son dépucelage d' acteur banckable à travers son premier rôle solo dans un film de Majors. Nul doute que le comédien a marqué des points en s'enrôlant dans ce film original et bien construit avec ses airs de Hulk, le vert en moins...On ne saurait oublier la ribambelle de personnages secondaires bien trouvés quoique parfois stéréotypés (le mafieux forcément russe...). On excusera du coup quelques invraisemblances, quelques grosseurs de scénario ainsi que des questions qui restent en suspens comme si deux ou trois scènes primordiales avaient été supprimées.

Et puis "Limitless" est  aussi armé du meilleur label de qualité que le cinema connaisse. Ce label garantit, quoiqu'il arrive, que le film n'a aucune chance d' être un complet navet. Ce label comporte trois mots : Robert de Niro.

Si c'est pas de l'argument ça...



17/06/2011
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