Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

On vous annonce la couleur : on va ici encenser un film dont nous sommes parfaitement lucides qu’il n’est pas, loin s’en faut, le plus grand film de l’année.

Il y a des films comme ça que l’on voit dans un contexte des plus favorables pour y être réceptifs. Peut être qu’il y a quelque temps nous aurions ici trouver « Love again » méchamment gnangnan, ce qu’il est d’ailleurs. Peut être aussi qu’en le revoyant dans quelque temps,  nous le trouverons terriblement surévalué par rapport à ce que l’on en aura écrit.

Mais pas là maintenant. Pas là à cet instant T. Nous avons succombé au charme du film et avons envie de le clamer. L’eau de rose coule à flots, les codes du genre sont respectés (on tombe amoureux / on se dispute / on se réconcilie) à la lettre, rien n’y fait. Ou plutôt tout : le plaisir est là, durant toutes les scènes de ce film au scénario plutôt bien trouvé, sorte de variante au départ de « Nuits blanches à Seattle » à la sauce gentiment « Ghost ».

On a succombé instantanément au charme de ces deux protagonistes paumés joués avec justesse par deux acteurs inspirés. Sam Heughan et Priyanka Jonas sont ces deux acteurs sur lesquels nous nous sommes attachés immédiatement. Ils sont touchants, ils sont drôles, l’alchimie entre eux est palpable.

Le film nous a tant touché que même Céline Dion, dont nous ne sommes pas spécialement fans ici, nous a plu. On a beau lui chercher un défaut  à ce film, nous n’y arrivons pas pour l’heure. Il fait du bien à travers la positivé qu’il dégage. Il nous fait oublier les tracas, le temps d’un film, et donne assurément l’envie de tomber amoureux. Du pur bonheur.