Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Il est de retour ! Ce satané lapin qui n’en fait qu’à sa tête au point d’en rendre fou chaque humain mais aussi ses congénères.

Le premier opus devait sa réussite à l’affrontement choc que se livrait le héros titre et l’excellent Dohmnall Gleeson le tiroir arbitré par la délicieuse Rose Byrne.

Devenus « amis », les deux anciens rivaux n’ont plus lieu de se mettre des bâtons dans les roues. Aussi ce deuxième opus prend t’il le choix de sacrifier les héros humains pour se focaliser davantage, et c’est logique, sur ke lapin pas si crétin. Cette fois-ci, ses aventures vont le mener tout droit à côtoyer d’autres animaux dont les louables intentions de départ ne le sont peut être pas tant que ça.

Le film perd incontestablement en drôlerie et en intérêt. De reléguer presque au rang de faire valoir Gleeson et Byrne est quelque peu désolant. Surtout que l’intrigue montre vite ses limites et patauge sévère sur la longueur. Les petits y trouveront leurs comptes, c’est moins sûr pour les grands.