« Sur la branche »
Le moindre que l’on puisse dire est que Marie Garel-Weiss a de la suite dans ses idées. « Sur la branche » surprend par le nombre de tiroirs qu’elle ouvre à travers, finalement, ce qui semble être des micros histoires au cœur d’un seul même long métrage.
On n’est pas très loin du film à sketchs ce qui fait à la fois la force et la faiblesse du film. Difficile, en effet, de s’attacher aux situations proposées et, malgré tout son dévouement, Daphné Patakia peine à rendre son personnage attachant.
De cette relative déception, seul Benoit Poelvoorde tire son épingle du jeu et n’a aucun mal à écraser ses partenaires par sa présence. Ça en devient presque gênant.
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 329 autres membres